mercredi, novembre 27, 2013

KAR-NOUT-IS, PAR-ISIS, RE-MEN-IS... GLOIRES DU PANTHEON EGYPTIEN...


Il s'agit des villes de Chartres, Paris, et Reims, dont certains historiens nous disent qu'elles doivent leurs noms à des tribus celtiques qui les auraient fondées, les Carnutes, les Parisii, et les Rèmes...

En réalité, c'est l'inverse qui s'est produit, et tout comme les Parisiens doivent leur nom au fait d'habiter la ville de Paris, ces tribus ont tout simplement pris le nom des bourgades, déjà fondées et nommées, et dans lesquelles elles s'étaient installées. Ces bourgades furent constituées autour d'anciens sanctuaires dédiés à des divinités du panthéon égyptien, et sur les vestiges desquels, dans une continuité mystique, logique mais insoupçonnée pour la plupart des croyants, l'église catholique va édifier les plus grands temples de la chrétienté...

Ces sanctuaires ( il y en a plusieurs autres ), furent initialement dédiés à :

NOUT, déesse égyptienne du ciel.
ISIS, mère universelle, épouse et soeur d'Osiris, mère de Horus
RE, dieu solaire égyptien.

IS, concept dont le glyphe le représentant est un "faisceau" de tiges de lotus, correspond au fait de rassemblement, donc au "fait de religion", devenant par extension la "chose sacrée". C'est ce concept qui se retrouve dans le nom d'Isis, laquelle rassembla les parties de son frère Osiris pour lui redonner vie, et qui établit la vocation universaliste de la ville de Paris à laquelle elle à donné son nom...

KAR, est le "foyer", le "coeur", où encore le "sanctuaire". On retrouve ce concept dans Kar-nak, celui de Bretagne comme celui d'Egypte

PAR, est l'enceinte sacrée déterminant l'espace dédié à la divinité...

MEN, est la construction en pierre...

Quant à savoir maintenant pourquoi des divinités du panthéon égyptien se trouvaient célébrées dans cette région qui deviendra plus tard la France, c'est le plus intéressant, le plus passionnant, mais le plus long à expliquer, et ce sera aussi le plus difficile à admettre pour certains, et nous verrons cela plus tard... 

Richard Pulvar

Aucun commentaire: